US$ 14,576,086
20
2017/01- 2019/08
PNUD : US$ 5,832,702
Union Européenne : US$ 3,026,222
Allemagne : US$ 1,481,074
Norvège : US$ 1,275,762
USAID : US$ 1,199,439
France : US$ 513,963
Afrique du Sud : US$ 469,006
UK : US$ 156,250
Corée du Sud : US$ 99,786
Suisse : US$ 70,897
Australie : US$ 35,597
Renforcement des capacités des institutions publiques,
de la société civile et des médias,
protection des droits humains,
lutte contre la corruption,
amélioration de la participation citoyenne, plus particulièrement celle des femmes et des jeunes.
Madagascar a souffert de crises cycliques et récurrentes depuis le début des années 1970.
La dernière en date, déclenchée par un changement de pouvoir inconstitutionnel en 2009, a engendré la suspension du pays des instances internationales et aggravé l’extrême pauvreté.
Une feuille de route pour mettre fin à la crise à Madagascar a été signée en Septembre 2011 grâce à la médiation de la Communauté de Développement des États de l’Afrique Australe (SADC), avec l’appui de l’ONU.
Ce plan a ouvert la voie à la tenue de l’élection présidentielle et des élections législatives en octobre-décembre 2013 ainsi que des élections communales en juillet 2015.
Le PNUD, dans le cadre du Projet d’Appui au Cycle Électoral à Madagascar (PACEM), avec l’appui de ses partenaires internationaux, a apporté une assistance multiforme au processus électoral qui a contribué à la tenue d’élections jugées transparentes et crédibles par l’ensemble des observateurs.
Malgré le retour à l’ordre constitutionnel à la suite des élections de 2013, la situation politique à Madagascar reste aujourd’hui fragile.
C’est dans ce cadre que le Gouvernement de Madagascar, dans une lettre datée du 5 février 2016, a sollicité l’assistance des Nations Unies pour la préparation du prochain cycle électoral qui culminera avec les élections présidentielle et législatives de 2018.
Une mission d’évaluation des besoins électoraux (NAM) a été déployée à Antananarivo début 2016.
Le présent projet de Soutien Au Cycle Électoral de Madagascar (SACEM) entend accompagner la nouvelle CENI en vue de contribuer à la tenue d’élections crédibles, transparentes, pacifiques et inclusives en 2018.
Dans ce contexte politique fragile, des élections contestées risquent de remettre en cause les avancées obtenues depuis 2013 et pourraient faire plonger le pays dans une nouvelle crise politique et institutionnelle, avec des conséquences néfastes pour la situation socio-économique.
CTP du projet
Expert juriste senior en administration électorale
Expert en administration et finances
Expert en administration et finances
Expert Nordem en IT et gestion de bases de données électorales
Chargé de reportage, communication et archivage
Spécialiste en sensibilisation, éducation civique et communication
Expert national en sensibilisation et éducation civique
Experte nationale en sensibilisation et éducation civique
Expert en logistique et opérations électorales
Expert en télécommunication
Expert en télécommunication
Expert cartographe et SIG
Expert logisticien
VNU logisticien en province
VNU logisticien en province
VNU logisticien en province
Assistante administrative et financière
VNU logisticien en province
VNU logisticien en province
ou
Josselin Brémaud
Chargé de communication